Histoire de la rue piétonne
LE GRAND BLEU
53 Bis, rue du Général de Gaulle.
Comme nous l'avons dit, ce commerce a été de 1920 à 1975, une quincaillerie-droguerie tenu par M.M. SIMON, puis est devenu les établissements ROUX.
En 1975, les établissements Roux s'étant installé Boulevard Pompidou, une partie de la quincaillerie fut transformée en un café Le Rustica par Monsieur BARANGER. L'autre partie devient un commerce de vêtements JRS 2 puis solderie 3000.
en 1980, Le Rustica prend le nom de Carlina, café-hôtel tenu par Monsieur VINCENT qui avait succédé à Monsieur Claude PONTOIZEAU. Enfin, en 1988, les deux commerces sont réunis pour devenir Le Grand Bleu, café, petite restauration, crêperie, l'affaire étant reprise par René SIMON.
BOULANGERIE
55, rue du Général de Gaulle.
De tout temps, ce commerce a été une boulangerie. Ce fut d'abord la boulangerie VIAUD. Le recensement effectué en 1931 nous fait découvrir que la boulangerie était tenue par Monsieur Léon VIAUD et son épouse Odile née BILLON. Léon VIAUD employait plusieurs personnes : deux ouvriers boulangers, Maurice PINATEL et Claude LOISEAU, ainsi qu'une porteuse de pain, Albertine CREPEAU.
Après Léon VIAUD, la boulangerie fut reprise ne 1980, par Monsieur BILLON. En 1995, elle était gérée par Monsieur et Madame RICHARD.
En 2004, de nouveaux propriétaires, Anabelle LEVRAR (pâtissière) et Emmanuel CHAILLOU (boulanger) aménagent le magasin, lui donnent un nouveau look. la boulangerie s'appelle désormais Le Fournil. Elle présente une grande gamme de différents pains et pâtisseries.
LA GRANDE PHARMACIE
57, rue du Général de Gaulle.
La première pharmacie a été créée, en 1920, par Monsieur TESSON qui s'était rendu acquéreur d'unterrain à cet endroit.
Le fils de Monsieur TESSON, André TESSON, fut clerc de notaire en l'étude de Maître Freizefond avant de s'installer notaire à Soullans.
En 1940, la pharmacie est reprise par Monsieur CHEVILLON.
En 1946, la pharmacie devient la pharmacie Maurice LAMOUR (fondateur du Club de judo) avec l'enseigne La Grande Pharmacie. Depuis 1980, elle est gérée par Monsieur Patrick LAMOUR, son fils.
Le 1er janvier 2005, Patricl LAMOUR cède sa pharmacie à Monsieur Yann MINTER.
LA CREPERIE DES ISLES
Angle de la Rue de Gaulle et le Quai Gorin.
Au début du XXème siècle et jsuqu'en 1930, ce commerce était tenu par Monsieur DAVY-DESNAUROIS. C'était un magasin de Cycles et Machines à coudre. En 1930, l'affaire est reprise par Monsieur MORINEAU.
Vers 1936, Madame ROBERT s'installe dans les lieux et crée une droguerie.
Vers 1970, Monsieur JOLLY succède à Madame ROBERT.
En 1980, les locaux sont vendus à Monsieur MUCHEZ et transformés en café-crêperie "La crêperie des Isles".
La parfumerie OLYMPE et le magasin photo et le laboratoire de Claude NOUGUEY en 1970.
Différents photographes se sont succédés :
Avant la guerre 1939/1945 : Monsieur FILLODEAU
Vers 1943 : achat par Monsieur MARCILLOUX
Gérance : Monsieur CHUPIED de 1943 à 1944.
Monsieur ambroise LEVENEZ de 1944 à 1948.
En 1948/1951 : achat par Monsieur DARRAS.
Octobre 1951 à septembre 1978 : Monsieur Claude NOUGUEY.
Fin des photographes et reprise en 1978 par Monsieur GABORIAU avec l'enseigne les laines Pingouin.
LAMBOT VOYAGES
2, rue du Général de Gaulle.
A cet emplacement, se situait, jusqu'en 1970, la maison d'habitation de la famille DAVY-DESNAUROIS et, ensuite, de Madame ROBERT.
En 1970, la parfumerie OLYMPE est créée.
En 1980, le local est repris par LAMBOT VOYAGES pour ouvrir une agence de voyages.
RIO BRASIL
4, rue du Général de Gaulle.
Ce commerce a connu plusieurs destinées durant le siècle dernier. En 1920, on y trouavit une pâtisserie, la patisserie GREGOIRE. De 1930 à 1978, ce sont des photographes qui occupaient les lieux : Gaston FILLODEAU, de 1930 à 1943. En 1943, Monsieur MARCILLOUX achète les murs et confie la gérance de son magasin photos à Monsieur CHUPIED (1943-1944) puis Monsieur Ambroise LEVENEZ (1944-1950), Monsieur DARRAS devient propriétaire du fonds (1950-1951), puis Monsieur Claude NOUGUEY y crée son studio (1951-1978).
En 1978, Madame GABORIEAU installe un magasin de mercerie (laines pingouin) qu'elle gère jusqu'en 1987, année où le commerce devient une petite bijouterie et objets divers Rio Brasil crée par Monsieur POUPARD.
ATOLL
4, rue du Général de Gaulle.
Vers 1930, il y avait à cet endroit, une pâtisserie exploitée par Madame Félicia RAFFIN qui avait pris la sucession de Monsieur GREGOIRE.
En 1940, le commerce ayant cessé, il y avait une maison d'habitation privée et un jardin. Ce n'est qu'en 1986 que l'on retrouve un commerce de bijoux Atoll (propeiétaire Monsieur POUPARD).
GLACIER
4, rue du Général de Gaulle.
Comme on peut le voir, les magasins Rio Brasil, Atoll et Le Glacier n'étaient, il y a quelques années, qu'une seule et même propriété qui fut scindée ensuite en trois parties.
Jusqu'en 1950, il n'y avait, à cet emplacement, qu'une cour et un jardin, puis, jusqu'en 1980, une maison particulilère d'habitation.
En 1980, Madame CADOT ouvre un commerce de souvenirs et cadeaux. En 1995, le local est transformmé par les établissements SORIN pour l'installation d'un commerce de glaces.
COMPTOIR DES ILES
et
CORALINE
6, rue du Général de Gaulle.
Belle histoire que celle de ces petits commerces.
En 1920, c'était l'atelier du peintre Monsieur RAFFIN, puis en 1943, celui de Monsieur Albert POIRAUD, également peintre.
En 1960, Monsieur Mathurin ROUSSEAU achète les locaux et crée un magasin d'art floral Oasis Fleurs. En 1970, il déplace son commerce dans le bâtiment voisin pour laisser la place à une graineterie tenue par Monsieur Jean-Pierre CANTIN.
En 1984, Bernard TESSIER, artiste peintre, prend place provisoirement jusqu'en 1986, année où les bâtiments sont rasés pour la construction de :
- Le comptoir des Iles, tenu par Monsieur Mathurin ROUSSEAU, de 1987 à 1992, et, depuis 1992, par Monsieur et Madame GREGOIRE (torréfacteurs).
- Un magasin de joaillerie Coraline, tenu par Madame RABALLAND.
ATELIER DES FLEURS
8, rue du Général de Gaulle.
De 1930 à 1960, on trouve à cet endroit l'épicerie L'Union, une célèbre chaîne ayant de nombreuses succursales un peu partout en France. En 1962, L'Union s'en va de l'autre côté de la rue.
En 1970, le local est acheté par Monsieur Mathurin ROUSSEAU qui y installe son magasin Oasis Fleurs.
En 1987, le magasin devient atelier des Fleurs, tenu successivement par Monsieur Joël LHOMMEAU et Monsieur LEFEBVRE. Depuis 1995, le gérant est Monsieur Franck ORION.
GOGO GADGET
10, rue du Général de Gaulle.
Cet endroit fut très longtemps un jardin. Ce n'est qu'en 1960, qu'un commerce voit le jour : Blanche-Neige, un magasin de vêtements pour enfants tenu par Mademoiselle BLANCHET.
En 1970, les murs sont rachetés par Monsieur Mathurin ROUSSEAU, mais le magasin est toujours géré par Mademoiselle BLANCHET., jsuqu'en 1980. Ensuite, le commerce est repris par Madame Jeanne GUILLET qui crée l'enseigne Maman Bébé.
En 1992, l'enseigne devient Marin Marine puis, en 2002, GOGO GADGET créé par Monsieur Bertrand BAREILLES.
AMANDA
10, rue du Général de Gaulle.
Là aussi, il y eu au début du XXème sièvle, un jardin.
En 1930, Monsieur POTIER a tenu ce commerce jusqu'en 1960.
En 1978, Monsieur REVZIN installe un magasin de vêtements féminins sous l'enseigne Alexandra.
En 1980, Madame Martine BOURACEAU, crée l'enseigne Amanda également pour la mode féminine.
PHILDAR
10, rue du Général de Gaulle.
Ce bâtiment a été la maison d'habitation de Monsieur POTIER.
Le magasin Phildar a été crée en 1950, par Madame Emma CAIVEAU.
Tenu ensuite par Madame Renée SEBILEAU.
LA BOUCHERIE CLEMENT
La Boucherie de Monsieur Clément MORISSON appelée la boucherie Clément
Au centre de la photo, Monsieur et Madame MORISSON
entourés de leurs employés.
CHWETT
12, rue du Général de Gaulle.
Jusqu'en 1930, il y eut à cet endroit, un jardin, comme on en trouvait beaucoup à cette époque.
En 1930, Monsieur Clément MORISSON ouvre une boucherie qu'il exploitera durant près de 30 ans. C'était un des magasins les plus connus de la rue et tout le monde l'appelait La boucherie Clément. Ce commerce était important et employait un nombreux personnel. Il devait y avoir moins de pollution qu'aujourd'hui car la viande était exposée à tout vent.
En 1960, la boucherie fut reprise par Monsieur Marcel MICHON.
Changement total, en 1970, la boucherie devient un magasin de vêtements et, en 1979, Monsieur Serge PETT y installe l'enseigne Chwett.
OPTIQUE GALAUP
14, rue du Général de Gaulle.
Encore une maison particulière et son jardin jusqu'en 1930, année où est créée la Teinturerie CHAZAL. Cette année 1930 a vu de nombreuses mutations commerciales dans la rue qui était alors la Grand' Rue.
En 1950, Madame ROCAND, ex-employée de Chazal, installe une mercerie. Puis, en 1960 (Madame ROCAND étant aprtie en face au 29 Bis), on trouve le pressing de Monsieur PONTOIZEAU qui, à son tour, se déplacera en 1970, au n° 7.
En 1977, Monsieur Antoine Galaup ouvre un magasin d'optique et surdité.
EQUINOXE
16, rue du Général de Gaulle.
A cet emplacement dans la première moitié du XXème siècle, il y avait un commerce qui connaissait un grand succès. Le magasin s'appelait Les Nouvelles Galeries tenu, de 1920 à 1940, par Monsieur et %Madame QUIRION, puis de 1940 à 1950, par Monsieur et Madame ETCHEVERRY, et de 1950 à 1960 par Monsieur et Madame JOUANNIC.
En 1960, le commerce se transforme en un magasin de vaiselle tenu par Monsieur VIGOUROUX. En 1980, l'enseigne de vient stop Cado.
En 1990, Madame POUPARD crée le magasin de vêtements Equinoxe.
Nous sommes en 1930, création du garage Filhon.
Garage Filhon, Monsieur Paul Filhon et ses employés
Dont à gauche Camille Friou, la fillette au centre Paulette Filhon.
1958, Monsieur Louis Courant a succédé à Monsieur Paul Flhon.
De gauche à droite, Monsieur Raymond Jauffrit, café de la Paix Louis Courant
et Monsieur François Boussard.
FABIANO ET COUILLAUD
18, rue du Général de Gaulle.
Une belle histoire encore en remontant dans le cours du temps.
En 1925, il y avait une maison particulière avec un passage sur le côté. Derrière cette maison, un bâtiment où étaient installés, au rez-de-chaussée, la plomberie de Monsieur
P. CHARRIER et à l'étage, le premier laboratoire photos de Monsieur Maximin AMIAUD.
En 1930, Monsieur Paul Filhon crée, à cet endroit, un garage et construit sa maison d'habitation. Le 10 octobre 1945, l'affaire est reprise par Monsieur Louis COURANT. On a du mal à imaginer aujourd'hui garage et station d'essence dans cette rue.
Le 1er janvier 1976, Monsieur Gérard COURANT succède à son père. Le garage prend le nom de Ateliers Maritimes de l'Adon.
En 1983, Monsieur Louis COURANT transforme le garage en un atelier de mécanique-marine Les Ateliers de l'Adon.
Les Ateliers se déplacent dans la zone industrielle de la Bégaudière en 1986, pour laisser la place à un magasin de vêtments VEDIMO, qui devient, en 1991, FABIANO.
En 2002, le magasin est divisé en deux parties :
Les vêtements FABIANO.
Les chaussures COUILLAUD.
1983 - Les Ateliers de l'Adon étaient tenus par Monsieur Courant.
STUDIO JEAN-CLAUDE
20, rue du Général de Gaulle.
De 1920 à 1950, Monsieur François REBEYROTTE a tenu, ici, une cordonnerie. En 1958, Monsieur François BOUSSARD crée un commerce d'électricité, puis plus tard, y ajoute la télévision (il était auparavant rue Achard à Saint-Gilles-sur-Vie).
En 1980, mutation complète avec un magasin de lingerie fine Libertine. Puis, en 1995, création du Studio Jean-Claude (photographe).
1930 - La cordonnerie de François Rebeyrotte, ici en compagnie de son fils Lucien.
Lucette, fille de Monsieur et Madame Rebeyrotte (vers 1940).
Madame Rebeyrotte devant la cordonnerie (vers 1950).
LOOK JEANS
22, rue du Général de Gaulle.
Ce local, dépendant tout d'abord de la cordonnerie de Monsieur Rebeyrotte, sera exploité ensuite par Monsieur BOUSSARD.
En 1980, une partie de son magasin ainsi qu'une maison particulière, propriété de la famille MILASSEAU, sont achetées en co-propriété par M.M. Raymond TOUGERON et Moïse MECHIN. les murs sont abattus pour la construction d'un magasin, au rez-de-chaussée et d'un logement à l'étage.
Le magasin de Monsieur Moïse MECHIN devient d'abord Hifi-Music, puis d'un commerce de vêtements Look Jeans.
Lucette, fille de Monsieur et Madame REBEYROTTE. (Vers 1940).
Madame REBEYROTTE devant la cordonnerie vers 1950.
TERRE ETHNIC
22, rue du Général de Gaulle.
En 1930, se trouvait à cet endroit la maison aprticulière de Madame GILORY. Ce bâtiment fait partie de la propriété de Monsieur MECHIN. Depuis 1980, c'est un magasin de bijoux et joaillerie d'Orient.
GALERIES MODERNES
24, rue du Général de Gaulle.
Au début du siècle dernier et jsuqu'en 1960, le magasin situé à cet emplacement était un bazar tenu d'abord par Madame CURET (1920), puis par Monsieur et Madame OUDOT (1950) ensuite par Monsieur et Madame VIVET (1960) et Monsieur et Madame BELOUIN (1975).
En 1987, le commerce est repris par Monsieur et Madame GUILBAUD (fille de Monsieur et Madame BELOUIN).
Ce magasin a toujours été un commerce appelé Galeries. Le bâtiment est d'époque et on peut voir encore aujourd'hui, à l'intérieur, un magnifique escalier menant à l'étage en forme de "Galeries".
1980
2004
ARCAZI
26, rue du Général de Gaulle.
En 1940, il y avait à cet emplacement, c'est-à-dire à l'angle de la Grand' Rue et de la rue du Four Banal, le cours complémentaire mixte dirigé par Monsieur MARATIER.
Auparavant de 1920 à 1940, c'était une maison particulière habitée par Monsieur MARCETTEAU, puis par la famille CURET.
En 1945, changement radical de paysage puisqu'on trouve à cet endroit, l'hôtel Le Rallye tenu par Madame GENTY.
Plus tard, vers 1965, Monsieur BELOUIN installera un atelier-magasin de plomberie.
C'est en 1975, que Monsieur Victor HERBERT crée une nouvelle enseigne de chaussures Arcazi tandis que Monsieur BELOUIN s'en va à côté tenir Les Galeries Modernes.
TANEO
28, rue du Général de Gaulle.
En 1920, on trouvait à cet endroit, un jardin. C'est en 1950 que Monsieur Gérard LIMOUZIN, tapissier, installe son atelier.
En 1960, il agrandit son affaire en se rendant acquéreur du magasin de Lucien REBEYROTTE. Il crée alors un magasin de literie et meubles, magasin qu'il cède à son fils Jean, en 1963. Brigitte, la fille de Jean lui succède et prend la gérance avec son mari Robert BIENVENU.
En 1997, Monsieur Pierre MICHON crée à cet emplacement l'enseigne L'AIGUIERE, magasin "Cadeaux et Art de la Table".
En 2000, l'affaire se transforme en un commerce de chaussures ayant pour enseigne Taneo.
ERAM
30, rue du Général de Gaulle.
En cet emplacement, vers 1920, se tenait le tabac-presse de Madame Noëllie PERIGAUD.
Vers 1935, Monsieur Lucien REBEYROTTE (fils de François) installe sa cordonnerie qu'il tiendra jusqu'en 1960.
A partir de 1960, ce local sera rattaché au magasin voisin tenu par Monsieur LIMOUZIN.
En 1951, un char de la fête des fleurs. Au fond à gauche, l'enseigne de l'hôtel restaurant "Le Rallye"
PHOTO AMIAUD
32, rue du Général de Gaulle.
La famille AMIAUD tient une place prépondérante dans l'histoire de la rue De Gaulle. Pour cette famille, la photo est une véritable institution que l'on pratique de père en fils.
En 1925, le grand-père Maximin AMIAUD, crée son laboratoire dans une cour, à l'arrière du garage Filhon.
En 1935, il s'installe dans la Grand' Rue où il ouvre un magasin. C'est l'époque où les communiants, jeunes mariés, militaires posaient chez le photographe pour l'album de famille.
En 1950, le fils de Maximin, Lucien prend la sucession avec son épouse Germaine.
Le fils de Lucien, Daniel, prend les rênes de l'affaire, avec son épouse en 1980.
Trois générations se sont succédées dans cette petite entreprise familiale.
L'entrée de l'école et les logements des instituteurs.
Les bâtiments et la cour de l'école.
LES BALCONS DU CENTRE
34, rue du Général de Gaulle.
En 1912, l'école publique des Filles, construite à l'emplacement de la cure, est inaugurée. Cette école sera agrandie, on y ajoutera des logements pour les enseignants, mais elle subsistera jusqu'en 1993, année où elle fut transférée dans de nouveaux bâtiments, Boulevard Pompidou.
En 1968, année de la mixité, les filles rejoignent les garçons à l'école de la rue du Bac. L'école de la rue de Gaulle devient école maternelle, les locaux servant également de restaurant scolaire et salles de réunions.
En 1993, les bâtiments, vendus à un promoteur, sont rasés pour permettre la construction d'un immeuble Les Balcons du Centre. Logements dans les étages, une salle de musculation, le rez-de-chaussée étant réservé aux commerces.
Au fur et à mesure, se sont installés dans les locaux commerciaux :
Reflets d'Orient (souvenirs), Tout à 2 Euros (bibelots), L'adresse Immobilière (agence immobilière), Surabaya, puis en 2004 Week-end à la mer (vêtments), Yaya (maroquinerie), Entre Deux Mers (vêtements de sport), Troyes Dorect (sport), Gogo Gadget, puis en 2003, La Mailloterie.
La mémoire locale dit qu'il y avait à cet endroit, au XVIIème siècle, la maison de la famille De LEZARDIERE, amis du roi Louis XIII. Celui-ci au cours de la bataille de Riez qu'il mena contre Soubise, s'arrêta à Croix-de-Vie dîna et coucha dans cette maison.
LA STERNE
Dans les années 1920, cet hôtel s'ppelait l'Hôtel du Centre, il était tenu par Madame ROCH, puis par Madame JOLY. Devant l'entre, on pouvait voir une terrasse ombragée qui bénéficiat également du feuillage de l'arbre de la liberté.
En 1958, Monsieur BURGAUD devient le propriétaire de cet hôtel-restaurant et fait installer une terrase couverte.
Entre l'école et l'hôtel, il y avait unchemin dont la mairie avait le droit de passage pour permettre aux enfants d'accéder à la cour de l'école.
Celui que l'on connait aujourd'hui a été construit par Monsieur Marc BURGAUD, en 1993, sur une partie du terrain de l'école maternelle et de l'hôtel du centre.
En 2003, Monsieur Marc BURGAUD cède à Messieurs GRONDIN Frères la partie restaurant La Sterne, ne gardant que la aprtie hotellerie.
Le restaurant devient alors L'Avano. Ce mot est une déformation du mot Haveneau, filet de pêche avec un manche et une poche pour la pêche à la crevette.